Les deux frères n’auraient jamais dû quitter la caserne de leur père Avec son ambiance très cocardière Ils revoient le quartier Delpal Où en chœur ils jouaient aux gendarmes et aux voleurs
On garde tous au fond de son cœur Les premiers pas de sa vie Même si plus tard c’est le grand bonheur On y pense avec nostalgie
Ils n’auraient jamais du quitter leur école Où avec leurs coupes au bol Leurs fous rire de gosses Sous le grand marronnier Ils faisaient les fous à la récré
On garde tous au fond de son cœur Les premiers pas de sa vie Même si plus tard c’est le grand bonheur On y pense avec nostalgie
Ils n’auraient jamais dû quitter les bords de la Bièvre Où sur les bords des étangs de la Minière Les soirs de patronage Ils étudiaient la galipette L’un avec Michèle, l’autre avec Georgette
On garde tous au fond de son cœur Les premiers pas de sa vie Même si plus tard c’est le grand bonheur On y pense avec nostalgie
Ils n’oublieront jamais cet étang de la Martinière Où ils firent l’école buissonnière Comme celui de La Geneste, du Val d’Or et du Moulin à Renard Voila pourquoi ils sont là aujourd’hui Avec leurs mines toutes réjouies
On garde tous au fond de son cœur Les premiers pas de sa vie voila pourquoi aujourd’hui avec grand bonheur Les Joyeux Pataugas sont venus à Satory
Franck (tiré de la chanson « Souvenirs d’enfance » de Charlotte Julian)
3 commentaires sur « Souvenirs d’enfance chez les grippe-coquins »
Les citations du Littré sur Grippe-coquin
Bravo! mon garçon, un gendarme n’aurait pas mieux fait – M. le juge de paix, répliqua Rabusson en se redressant d’un air de dignité offensée, il me semble qu’un ancien maréchal des logis au deuxième régi ment des cuirassiers de la garde vaut bien tous les grippe-coquins du monde
Auteur : CH. DE BERNARD – Source : le Gentilhomme campagnard
Les Joyeux Pataugas 
Les citations du Littré sur Grippe-coquin
Bravo! mon garçon, un gendarme n’aurait pas mieux fait – M. le juge de paix, répliqua Rabusson en se redressant d’un air de dignité offensée, il me semble qu’un ancien maréchal des logis au deuxième régi ment des cuirassiers de la garde vaut bien tous les grippe-coquins du monde
Auteur : CH. DE BERNARD – Source : le Gentilhomme campagnard
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Excellent !!!
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Excellent le texte et la photo de fin… D’enfer !! Rien à ajouter.
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